Trinitro vous propose un cocktail composé d’ 1/3 de candeur, d’un 1/3 d’impertinence et d’un 1/3 d’humour, le tout cependant servi dans le verre de la réalité.
Cette phrase est inutilement agressive. C’est vrai à la fin, le personnage qui se cache derrière le pseudonyme de Trinitro se permet de critiquer les managers en quête de changements sans risque d’être remis à sa place par celui qui écrirait qu’une bande de collaborateurs jeunes et motivés est beaucoup plus utile qu’un ancien organigramme d’avant la révolution culturelle.
Non mais ! Pour qui se prend-il ce Don Quichotte du TQM !
Nous seulement nous devons nous occuper des solutions, dessiner des processus et des structures par lesquelles les gens produiront plus en dépensant moins, mais encore, si nous écoutons ce prêcheur inconscient, nous devrions aussi nous occuper des problèmes.
A quoi cela peut-il servir de s’occuper des problèmes lorsqu’on connaît les solutions ?
Que dites-vous?
Que cela doit servir à la gestion. C’est nouveau alors!